Avec les églises évangéliques nous mettons résolument en pratique le principe protestant de « se réformer sans cesse ».
Ce mouvement remonte à la Réforme dite radicale du 16e siècle.
Le titre d’« évangélique » est relativement récent dans sa signification moderne, mais ce mouvement remonte aux premiers temps de la Réforme. Contestant la nécessité de la médiation d’une institution pour que le croyant entre en relation avec Dieu, ce mouvement privilégie la spontanéité de l’expression cultuelle à la continuité des institutions. Ainsi il est par nature peu structuré, voire déroutant pour l’observateur externe. Les liens entre toutes les églises et mouvements évangéliques sont cependant nombreux, et le Conseil National des Evangéliques de France (CNEF), institutionnalisé en juin 2010, regroupe un grande partie des évangéliques en France.
Les évangéliques se caractérisent aujourd’hui par quatre points majeurs, selon les critères développés par l’historien (baptiste) britannique David Bebbington, vulgarisés récemment en France par Sébastien Fath, sociologue et historien des religions, spécialisé dans l’étude du mouvement évangélique « Du ghetto au réseau », Labor et Fides, 2005.
AUTORITE DE LA BIBLE
Nous réaffirmons aujourd’hui ce principe protestant et faisons une lecture confiante de l’Écriture.
MESSAGE DE LA CROIX
Le cœur de notre prédication peut être résumé par cette parole du Christ rapportée dans l’évangile de Jean (chapitre 3, verset 16) : « Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle ».
CONVERSION
« On ne naît pas chrétien, on le devient » disait déjà Tertullien au IIe siècle. Comme pour les premiers chrétiens, nous croyons qu’il faut faire un choix personnel pour devenir chrétien. C’est la raison pour laquelle la plupart des chrétiens évangéliques, tout comme les baptistes, ne baptisent pas les petits enfants. La réponse de notre foi au don gratuit de Dieu fait naître en nous une nouvelle vie par l’Esprit Saint. Le baptême sur profession de foi est le témoignage public de cette expérience fondatrice de notre relation personnelle avec Dieu.
ENGAGEMENT MILITANT
La vie nouvelle suivant la conversion nous conduit à un engagement complet au service de ce Dieu souverain et miséricordieux. Bénéficiaires de la grâce de Dieu, nous en sommes aussi des témoins convaincus et des propagateurs zélés. Le « sacerdoce universel » cher à tous les protestants trouve ainsi une expression particulièrement vivante : chacun de nous peut rendre compte de ce que Dieu a fait pour lui sans avoir nécessairement fait des études de théologie poussées.
Ce mouvement remonte à la Réforme dite radicale du 16e siècle.
Le titre d’« évangélique » est relativement récent dans sa signification moderne, mais ce mouvement remonte aux premiers temps de la Réforme. Contestant la nécessité de la médiation d’une institution pour que le croyant entre en relation avec Dieu, ce mouvement privilégie la spontanéité de l’expression cultuelle à la continuité des institutions. Ainsi il est par nature peu structuré, voire déroutant pour l’observateur externe. Les liens entre toutes les églises et mouvements évangéliques sont cependant nombreux, et le Conseil National des Evangéliques de France (CNEF), institutionnalisé en juin 2010, regroupe un grande partie des évangéliques en France.
Les évangéliques se caractérisent aujourd’hui par quatre points majeurs, selon les critères développés par l’historien (baptiste) britannique David Bebbington, vulgarisés récemment en France par Sébastien Fath, sociologue et historien des religions, spécialisé dans l’étude du mouvement évangélique « Du ghetto au réseau », Labor et Fides, 2005.
AUTORITE DE LA BIBLE
Nous réaffirmons aujourd’hui ce principe protestant et faisons une lecture confiante de l’Écriture.
MESSAGE DE LA CROIX
Le cœur de notre prédication peut être résumé par cette parole du Christ rapportée dans l’évangile de Jean (chapitre 3, verset 16) : « Car Dieu a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle ».
CONVERSION
« On ne naît pas chrétien, on le devient » disait déjà Tertullien au IIe siècle. Comme pour les premiers chrétiens, nous croyons qu’il faut faire un choix personnel pour devenir chrétien. C’est la raison pour laquelle la plupart des chrétiens évangéliques, tout comme les baptistes, ne baptisent pas les petits enfants. La réponse de notre foi au don gratuit de Dieu fait naître en nous une nouvelle vie par l’Esprit Saint. Le baptême sur profession de foi est le témoignage public de cette expérience fondatrice de notre relation personnelle avec Dieu.
ENGAGEMENT MILITANT
La vie nouvelle suivant la conversion nous conduit à un engagement complet au service de ce Dieu souverain et miséricordieux. Bénéficiaires de la grâce de Dieu, nous en sommes aussi des témoins convaincus et des propagateurs zélés. Le « sacerdoce universel » cher à tous les protestants trouve ainsi une expression particulièrement vivante : chacun de nous peut rendre compte de ce que Dieu a fait pour lui sans avoir nécessairement fait des études de théologie poussées.